Mémoire Audit : Audit des immobilisations selon les normes us
[sociallocker]Chapitre 1 : Prise de connaissance générale de l’entreprise
Section 1 : Activités et fonctions au sein de l’entreprise
Section 2 : Personnel responsable des activités opérationnelles et fonctionnelles
Section 3 : Structure et régime juridique
Section 4 : Evolution historique de l’entreprise
Section 5 : Evaluation préalable des risques
Chapitre II : Evaluation du système de contrôle interne
Section 1 : Définition, objectifs et principes de base du contrôle interne
Section 2 : Moyens et techniques d’évaluation du contrôle interne
Chapitre III : Le contrôle des comptes
Section 1 : L’examen analytique
Section 2 : L’examen des documents et des comptes
Section 3 : Les contrôles par recoupements
Section 4 : Les contrôles physiques
Section 5 : le contrôle des évaluations
Section 6 : les contrôles par sondage et le contrôle intégral
Section 7 : l’examen des comptes annuels
Chapitre IV : L’émission du rapport de l’auditeur
Section 1 : Structure du rapport
Section 2 : Expression de l’opinion
Section 3 : Particularités à introduire dans le rapport
DEUXIEME PARTIE : Audit des immobilisations corporelles
Chapitre 1 : généralités et principe de base sur l’audit des immobilisations corporelles
Section 1 : Les immobilisations : notions et classifications :
Section 2 : Gestion des immobilisations
Section 3 : Cadre comptable des immobilisations corporelles
Section 4 : Cadre fiscal des immobilisations
Chapitre 2 : Cas pratique d’audit des immobilisations corporelles
Section 1 : Prise de connaissance générale de l’entreprise X
Section 2 : Extrait de la stratégie d’audit relatif aux immobilisations corporelles :
Section 3 : Evaluation du système de contrôle interne
Section 4 : Programme de travail de la section Immobilisations corporelles
Section 5 : Contrôle des comptes :
Section 6: Emission du rapport d’audit
Troisième Partie 3 : Audit des immobilisations corporelles selon les normes US GAAP et les normes IAS/IFRS : retraitements et divergences par rapport aux normes marocaines ?
Introduction de la troisième partie
Chapitre 1 : Retraitements des immobilisations corporelles en normes US GAAP
Section 1 : généralités sur les normes US GAAP
Section 2 : Retraitements US GAAP des immobilisations corporelles
Chapitre 2 : Retraitements des immobilisations corporelles en normes IFRS
Section 1 : le passage aux normes IAS/ IFRS : une conception nouvelle de l’information financière
Section 2 : Dispositions des normes comptables IAS/IFRS relatives aux immobilisations corporelles (IAS 16)
Section 3 : Normes marocaines et normes internationales : principaux points de divergence
Chapitre 3 : divergence US GAAP / IFRS
Section1 : Des approches de normalisation opposées
Section 2 : Différences clés entre IFRS / US GAAP
Conclusion de la troisième partie
Le passage aux nouvelles normes est essentiellement vécu, pour le moment, comme une source de coût supplémentaire par les sociétés concernées. Les avantages à attendre de la mise en place des nouvelles normes ne sont pas encore perçus.
Il est vrai qu’il est difficile de statuer aujourd’hui sur l’équilibre fidélité/comparabilité obtenu dans les normes IFRS. En effet, la comparabilité ne sera pas acquise immédiatement, ce n’est qu’au bout d’une période d’environ deux ans que les différents intervenants disposeront du recul nécessaire pour apprécier les effets bénéfiques de la réforme.
En théorie, les analystes devraient avoir moins de retraitement à effectuer, mais on ne pourra examiner l’impact du choix des méthodes que lorsque celui-ci aura été fait. Il faut souligner à ce propos le développement du rôle des cabinets de consultants, augmentant d’ailleurs le coût global du passage aux nouvelles normes.
La stabilité globale des marchés financiers ne devrait pas être impactée par le passage aux nouvelles normes pour peu que le principe de base qui est d’améliorer la visibilité soit rapidement intégré.
Néanmoins, une phase d’appropriation et d’acceptation des nouvelles méthodes comptables sera nécessaire pour passer d’une philosophie reposant sur le principe de prudence et d’image fidèle à une comptabilité plus prospective (abandon progressif du coût historique), donc nécessairement plus subjective et plus complexe.
C’est pourquoi le rôle de la communication financière des sociétés cotées sera déterminant pour expliquer, justifier et clarifier un certain nombre de choix méthodologiques spécifiques. On peut s’attendre à l’apparition de phénomènes de décote ou de prime boursière liée à la qualité non seulement de l’information, mais aussi de la communication comptable.
Conclusion générale :
Au terme de ce mémoire, on peut dire que l’audit des immobilisations est essentiel pour les sociétés. Les approches de sa réalisation, bien que disparates, se basent toutes fondamentalement sur la validation de l’existence et la bonne valorisation de ces immobilisations lors de leur comptabilisation. Cependant, le problème de cette valorisation reste complexe
Que ca soit les normes US GAAP ou IAS/IFRS, ces normes comptables sont devenues désormais, un outil puissant de politique économique, même plus déterminant que certaines mesures d’incitation à l’investissement (mesures d’ordre réglementaires, fiscal…)du fait que c’est un argument fort vis à vis des investisseurs étrangers, susceptible de sécuriser leurs relations avec le tissu économique d’un pays, à une époque où l’investisseur est devenu très sensible à l’effort déployé pour l’obtention d’une image fidèle des entreprises auxquelles ils apportent des ressources.
Cependant, on constate que la règlementation comptable marocaine se caractérise toujours par des absences de prise de positions, voir des « vides » qui incitent l’utilisateur des comptes marocains de se reporter à des référentiels internationaux pour avoir des réponses à ses interrogations. Ceci est une résultante de l’absence, depuis l’instauration des normes marocaines, d’un travail de suivi et d’accompagnement à l’instar de ce qui se fait ailleurs.
En effet, la comptabilité financière marocaine repose principalement sur une vision juridique et patrimoniale de l’entreprise, tournée vers le passé, avec bien sur l’affirmation de son rôle d’information mais aussi son rôle de preuve et de base de calcul de l’assiette des différents impôts.
Pour pallier à ces différents problèmes, ne conviendrait-il pas de converger vers le référentiel international en s’alignant sur l’exemple français ?
En effet, le conseil national de comptabilité français a intégré dans le PCG des normes internationales, telles que, IAS 16 « immobilisations corporelles », IAS 38 « immobilisations incorporelles », IAS 2 « stocks » et IAS 23 « coûts d’emprunts ».
Il revient donc au conseil national marocain qui est chargé de la normalisation comptable d’étudier ce projet de conversion, puisqu’il permettra une meilleure lisibilité des comptes et donnera à l’investisseur plus de confiance et se faisant, permet de susciter l’investissement et de favoriser le développement et la croissance des entreprises.
Ce stage de fin d’études m’a permis d’avoir un recul, de songer sérieusement à ma carrière et de lancer ma percée vers le haut ce qui a accentué ma soif pour le savoir et la volonté de réussir sur le plan professionnel.
Et c’est grâce à ce stage que j’ai pu d’abord approfondir mes connaissances concernant la finance en général et l’audit en particulier, aussi ai-je pu renforcer mon côté relationnel, ce que la communication, le dialogue, le travail en groupe et l’ouverture sur les autres, permettent.
En effet, lorsque règne l’esprit du groupe, le partage du savoir et la reconnaissance du travail, l’individu ressent une estime de soi et se fait fort de fournir le meilleur de lui pour un travail plus rentable, ce qui conduit l’entité en question, par la suite, vers les rangs de la réussite et de l’excellence.